
Zoltan Glass, composition 1950
…Le geste nu…
vulnérable et généreux, un élan presque enfantin, nu, offert tel quel, un semblant de vérité, serait-elle cachée au creux du cou, de la main, sous le pied
il serait question d’authenticité, de fou et de reine, un panache fragile et désespéré, le bord d’une falaise, roche blanche et lande en fleurs
la peau tout autour, le vivant, le battement
l’acte posé parce qu’il le faudrait, ensuite on verra bien
.

Bill Domonkos, 2014 (Photo M. Sieveking’s Hands, env. 1915)
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