
© Agathe Elieva, cité des Bosquets mars 17
…/… » Éboulis lorsque l’architecture se détruit. Éboulis. Gros tas de caillasses qui nous servirait à reprendre le pouvoir. Éboulis lorsque le cœur tombe fracassé parce que la main que je t’ai tendue, tu ne l’as jamais prise » …/…
La nouvelle Éboulis de Agathe Elieva est parue dans la revue #18 Le Zaporogue de Seb Doubinsky
(Téléchargeable gratuitement ou bien en version papier)
Joie.

Agathe Elieva, la passerelle 01.18