
© Jean-François Bory, Piano solo, 1972
« …toute clarté projette une ombre…
Snorri joue presque quotidiennement à l’harmonium du Bach, du Mozart, du Chopin, mais aussi parfois des mélodies dissonantes, nées de la douleur et de la culpabilité. La musique n’a pas son pareil. Elle est la pluie qui arrose le désert, le soleil radieux qui illumine les coeurs, elle est la nuit qui console. »
Entre ciel et terre, Jón Kalman Stefánsson